Que répondre aux dragueurs philanthropes?
Une conséquence que je n'avais pas prévue lorsque, il y a quelques temps, j'ai répondu favorablement aux avances d'un charmant jeune homme qui m'abordait dans la rue... Le fait de lui avoir cédé me donne à présent une excuse toute trouvée pour décliner les sollicitations de ses congénères.
Or... C'est ici qu'intervient, une fois de plus, un constat flagrant : le dragueur philanthrope est radicalement différent des autres espèces d'accosteurs de rue. Car lorsque vous déclinez ses avances en lui expliquant gentiment que non, désolée, un autre l'a devancé, au lieu de tourner les talons en grommelant (et je me fiche de savoir s'il y a un ou deux M, je trouve plus expressif d'en mettre deux) (j'ai même hésité pour un troisième) (je vise personne, évidemment), il vous adresse un magnifique sourire et de chaleureuses félicitations, pas fâché du tout que vous le déboutiez.
Avantage supplémentaire, comme quoi un bienfait n'est jamais perdu pour personne et dieu vous le rendra au centuple dès ce bas monde, c'est nettement plus agréable que faire semblant de ne pas avoir vu le salut souriant du dragueur philanthrope et raser les murs en camouflant ses bonnes mauvaises raisons.
Hélas, hélas, comme me disait l'un d'eux encore tout à l'heure, "C'est pas drôle, les seules personnes qui nous sourient et qui veulent bien s'arrêter, ce sont celles qui font déjà partie de nos soutiens..."
Reste à présent à bâtir des excuses du même tonneau pour toutes les autres sous-espèces de dragueurs philanthropes... Aille, elle n'est pas près d'avoir fini de se battre contre les moulins à vent, la souris.
Or... C'est ici qu'intervient, une fois de plus, un constat flagrant : le dragueur philanthrope est radicalement différent des autres espèces d'accosteurs de rue. Car lorsque vous déclinez ses avances en lui expliquant gentiment que non, désolée, un autre l'a devancé, au lieu de tourner les talons en grommelant (et je me fiche de savoir s'il y a un ou deux M, je trouve plus expressif d'en mettre deux) (j'ai même hésité pour un troisième) (je vise personne, évidemment), il vous adresse un magnifique sourire et de chaleureuses félicitations, pas fâché du tout que vous le déboutiez.
Avantage supplémentaire, comme quoi un bienfait n'est jamais perdu pour personne et dieu vous le rendra au centuple dès ce bas monde, c'est nettement plus agréable que faire semblant de ne pas avoir vu le salut souriant du dragueur philanthrope et raser les murs en camouflant ses bonnes mauvaises raisons.
Hélas, hélas, comme me disait l'un d'eux encore tout à l'heure, "C'est pas drôle, les seules personnes qui nous sourient et qui veulent bien s'arrêter, ce sont celles qui font déjà partie de nos soutiens..."
Reste à présent à bâtir des excuses du même tonneau pour toutes les autres sous-espèces de dragueurs philanthropes... Aille, elle n'est pas près d'avoir fini de se battre contre les moulins à vent, la souris.