Cerneaux de noix, demi-finale
Article de circonstance.
Tous ces jeunes gens ces jours-ci qui arborent fièrement des maillots de l'équipe de France, dans les rues, aux terrasses des cafés. De ce bleu magnifique, troublant, intense. Avec, brodés dessus, des chiffres, des noms porteurs de prestige.
Et comme ils en sont fiers, comme si ces maillots leurs conféraient une dignité nouvelle ; ils bombent le torse pour n'être plus que maillots vivants, s'effaçant derrière les couleurs dont ils se font porteurs. Ils voudraient ne plus symboliser qu'elle, l'équipe de France. Oh bien sûr, de temps en temps, on voit réapparaître des traces de noix sous le maillot, mais en général c'est assez couvrant. Le dragueur est plutôt bien enseveli sous le supporter.
Evidemment, aux jeunes filles qui passent, aux yeux attirés par l'étonnante couleur, les jeunes gens en bleu décochent des sourires accrocheurs. On ne revêt pas sans espoirs les habits des vainqueurs. Espoir d'une Adriana Karambeu qui passerait par là. Des Adriana Karambeu pour tout le monde.
Sauf que là, de les voir si bleus, c'est moi qui leur lance le premier grand sourire, auquel ils répondent avec une étonnante fraîcheur. Une souris qui montre une telle sympathie pour l'équipe de France, comment pourrait-on avoir un comportement à la noix avec elle.
Tous ces jeunes gens ces jours-ci qui arborent fièrement des maillots de l'équipe de France, dans les rues, aux terrasses des cafés. De ce bleu magnifique, troublant, intense. Avec, brodés dessus, des chiffres, des noms porteurs de prestige.
Et comme ils en sont fiers, comme si ces maillots leurs conféraient une dignité nouvelle ; ils bombent le torse pour n'être plus que maillots vivants, s'effaçant derrière les couleurs dont ils se font porteurs. Ils voudraient ne plus symboliser qu'elle, l'équipe de France. Oh bien sûr, de temps en temps, on voit réapparaître des traces de noix sous le maillot, mais en général c'est assez couvrant. Le dragueur est plutôt bien enseveli sous le supporter.
Evidemment, aux jeunes filles qui passent, aux yeux attirés par l'étonnante couleur, les jeunes gens en bleu décochent des sourires accrocheurs. On ne revêt pas sans espoirs les habits des vainqueurs. Espoir d'une Adriana Karambeu qui passerait par là. Des Adriana Karambeu pour tout le monde.
Sauf que là, de les voir si bleus, c'est moi qui leur lance le premier grand sourire, auquel ils répondent avec une étonnante fraîcheur. Une souris qui montre une telle sympathie pour l'équipe de France, comment pourrait-on avoir un comportement à la noix avec elle.